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Décryptage avec Nathalie Lhayani, Directrice de la politique durable de la Caisse des Dépôts

Crédit Grand angle

Depuis la COP21 en 2015, nous mettons à jour nos engagements chaque année, si bien qu'aujourd'hui,
notre ambition est très forte. Nous avons choisi d'aligner toutes nos activités sur un scénario de limitation à un 1,5 degrès du réchauffement climatique et d'être un acteur incontournable de l'atteinte de la neutralité carbone en France et donc de la mise en œuvre des objectifs nationaux. D'abord, nous avons choisi d'éliminer de nos financements toutes les activités très néfastes sur l'environnement. Et donc nous ne finançons pas la production d'électricité à partir de charbon, la production d'énergies non-conventionnelles que sont le gaz de schiste, les sables bitumineux, le pétrole et le gaz de l'Arctique. Et puis, nous avons gelé notre participation, qui est déjà très faible auprès des entreprises qui poursuivent l'expansion pétrolière et gazière. Mais malheureusement, comme les effets
du dérèglement climatique se font déjà sentir sur nos territoires, nous avons aussi choisi depuis 2022 de mettre en place un plan d'action d'adaptation au changement climatique pour adapter nos propres activités,
mais aussi accompagner les collectivités locales les plus exposées au dérèglement climatique. Grâce à l'ensemble des financements que nous mobilisons en prêts et en investissements, 60 milliards d'euros sur 
la période 2020-2024, et demain encore plus, et bien, nous aidons à l'émergence de projets dans les secteurs les plus prioritaires en matière de transformation écologique que sont d'abord la transformation
du secteur du bâtiment, il s'agit de décarboner les logements et les bâtiments publics et privés. Nous mobilisons aussi nos financements pour développer les énergies renouvelables partout sur le territoire. Et puis aussi pour faire émerger des solutions de mobilité douce et de mobilité durable. 60 milliards d'euros, ça correspond à plus de 15 % des besoins de financement de l'atteinte des objectifs nationaux. C'est donc très impactant. Alors, nous faisons en sorte que toute notre ambition ne soit pas que des engagements
et des objectifs, mais que vraiment ils infusent nos pratiques et notamment la sélection de nos investissements. Et donc, avant de financer un projet, nous analysons ses impacts en matière environnementale, sur le climat et la biodiversité, mais aussi en matière sociale et de bonne gouvernance.
S'il est mal noté sur ces sujets extra-financiers, et bien nous ne le finançons pas. L'extra-financier a maintenant la même importance que le financier pour nous. Et puis, nous intégrons aussi tous ces objectifs dans la rémunération variable de nos dirigeants, dans nos modèles de risque, dans notre comptabilité. Partout en fait.

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Le projet BUS2025 a été réalisé par la RATP pour le compte d'Ile de France Mobilité #CEFTransport

Crédit © Ludivine Pelletier/ Jair Lanes / Andreas B. Kruger

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TOP 10 L'Union européenne dans notre quotidien

Crédit ©Pierre Mouchet / Pitchy

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Crédit @Caisse des Déppots

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Crédit Grand angle

Depuis la COP21 en 2015, nous mettons à jour nos engagements chaque année, si bien qu'aujourd'hui,
notre ambition est très forte. Nous avons choisi d'aligner toutes nos activités sur un scénario de limitation à un 1,5 degrès du réchauffement climatique et d'être un acteur incontournable de l'atteinte de la neutralité carbone en France et donc de la mise en œuvre des objectifs nationaux. D'abord, nous avons choisi d'éliminer de nos financements toutes les activités très néfastes sur l'environnement. Et donc nous ne finançons pas la production d'électricité à partir de charbon, la production d'énergies non-conventionnelles que sont le gaz de schiste, les sables bitumineux, le pétrole et le gaz de l'Arctique. Et puis, nous avons gelé notre participation, qui est déjà très faible auprès des entreprises qui poursuivent l'expansion pétrolière et gazière. Mais malheureusement, comme les effets
du dérèglement climatique se font déjà sentir sur nos territoires, nous avons aussi choisi depuis 2022 de mettre en place un plan d'action d'adaptation au changement climatique pour adapter nos propres activités,
mais aussi accompagner les collectivités locales les plus exposées au dérèglement climatique. Grâce à l'ensemble des financements que nous mobilisons en prêts et en investissements, 60 milliards d'euros sur 
la période 2020-2024, et demain encore plus, et bien, nous aidons à l'émergence de projets dans les secteurs les plus prioritaires en matière de transformation écologique que sont d'abord la transformation
du secteur du bâtiment, il s'agit de décarboner les logements et les bâtiments publics et privés. Nous mobilisons aussi nos financements pour développer les énergies renouvelables partout sur le territoire. Et puis aussi pour faire émerger des solutions de mobilité douce et de mobilité durable. 60 milliards d'euros, ça correspond à plus de 15 % des besoins de financement de l'atteinte des objectifs nationaux. C'est donc très impactant. Alors, nous faisons en sorte que toute notre ambition ne soit pas que des engagements
et des objectifs, mais que vraiment ils infusent nos pratiques et notamment la sélection de nos investissements. Et donc, avant de financer un projet, nous analysons ses impacts en matière environnementale, sur le climat et la biodiversité, mais aussi en matière sociale et de bonne gouvernance.
S'il est mal noté sur ces sujets extra-financiers, et bien nous ne le finançons pas. L'extra-financier a maintenant la même importance que le financier pour nous. Et puis, nous intégrons aussi tous ces objectifs dans la rémunération variable de nos dirigeants, dans nos modèles de risque, dans notre comptabilité. Partout en fait.

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Décryptage avec Nathalie Lhayani, Directrice de la politique durable de la Caisse des Dépôts

Crédit Grand Angle

La perte de biodiversité est une catastrophe de la même ampleur que le dérèglement climatique. Les acteurs économiques ont eu un petit peu tendance à mettre ce sujet de côté. Aujourd'hui, la Caisse des Dépôts et l'ensemble de ses filiales le prennent à bras le corps. Nous avons adopté une politique en faveur de la préservation des écosystèmes, à l'échelle de l'ensemble des entités du Groupe, qui repose sur quatre axes. D'abord, mesurer notre empreinte
sur la biodiversité. Nous avons choisi de nous fixer des objectifs de réduction de ces impacts négatifs sur l'ensemble des 5 pressions sur la biodiversité. Nous cherchons aussi à augmenter nos impacts positifs sur la biodiversité en finançant des projets de renaturation, et aussi à accompagner d'abord la recherche en matière de biodiversité. Et puis la sensibilisation des acteurs économiques et des populations pour que l'ensemble des acteurs se saisissent de ces questions. Réduire son empreinte sur la biodiversité, cela veut dire d'abord agir sur le changement d'affectation des sols, sur la lutte contre la déforestation importée et sur l'artificialisation des sols. D'abord, nous avons intégré des critères de non artificialisation, de lutte contre la déforestation dans nos critères de sélection des investissements, soit les projets, soit les entreprises que nous avons en portefeuille. Et nous demandons aux entreprises dans lesquelles nous avons des participations de se doter de stratégies "Zéro déforestation importée". Pour nos portefeuilles d'actifs immobiliers, au niveau de la Caisse des Dépôts, nous nous engageons à faire en sorte que ces actifs soient complètement neutres en matière d'artificialisation des sols. C'est très impactant. Nous cherchons aussi à réduire nos impacts sur la pollution. Et de ce point de vue là, nous allons prendre un engagement fort, nous sommes parmi les premiers à le faire, c'est d'exclure les entreprises dans le secteur des pesticides, dont le chiffre d'affaires est exposé à plus de 20 % aux pesticides qui ont un impact fort en matière de pollution des sols. Nous mobilisons des financements massifs en prêts et en investissements pour accompagner les collectivités locales mais aussi les PME dans l'intégration de ces sujets en faveur de la biodiversité et notamment pour financer des projets a un impact positif sur la biodiversité. Nous allons mobiliser sur 2020/2024 3 milliards d'euros, au niveau notamment de la Banque des Territoires, pour financer des projets de renaturation de friches industrielles, de recyclage de déchets, de préservation de la ressource en eau et de lutte contre la sécheresse. Et plein d'autres projets qui permettent justement de développer des solutions fondées sur la nature, qui ont des co-bénéfices pour la biodiversité et pour le climat.

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notre ambition est très forte. Nous avons choisi d'aligner toutes nos activités sur un scénario de limitation à un 1,5 degrès du réchauffement climatique et d'être un acteur incontournable de l'atteinte de la neutralité carbone en France et donc de la mise en œuvre des objectifs nationaux. D'abord, nous avons choisi d'éliminer de nos financements toutes les activités très néfastes sur l'environnement. Et donc nous ne finançons pas la production d'électricité à partir de charbon, la production d'énergies non-conventionnelles que sont le gaz de schiste, les sables bitumineux, le pétrole et le gaz de l'Arctique. Et puis, nous avons gelé notre participation, qui est déjà très faible auprès des entreprises qui poursuivent l'expansion pétrolière et gazière. Mais malheureusement, comme les effets
du dérèglement climatique se font déjà sentir sur nos territoires, nous avons aussi choisi depuis 2022 de mettre en place un plan d'action d'adaptation au changement climatique pour adapter nos propres activités,
mais aussi accompagner les collectivités locales les plus exposées au dérèglement climatique. Grâce à l'ensemble des financements que nous mobilisons en prêts et en investissements, 60 milliards d'euros sur 
la période 2020-2024, et demain encore plus, et bien, nous aidons à l'émergence de projets dans les secteurs les plus prioritaires en matière de transformation écologique que sont d'abord la transformation
du secteur du bâtiment, il s'agit de décarboner les logements et les bâtiments publics et privés. Nous mobilisons aussi nos financements pour développer les énergies renouvelables partout sur le territoire. Et puis aussi pour faire émerger des solutions de mobilité douce et de mobilité durable. 60 milliards d'euros, ça correspond à plus de 15 % des besoins de financement de l'atteinte des objectifs nationaux. C'est donc très impactant. Alors, nous faisons en sorte que toute notre ambition ne soit pas que des engagements
et des objectifs, mais que vraiment ils infusent nos pratiques et notamment la sélection de nos investissements. Et donc, avant de financer un projet, nous analysons ses impacts en matière environnementale, sur le climat et la biodiversité, mais aussi en matière sociale et de bonne gouvernance.
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Depuis la COP21 en 2015, nous mettons à jour nos engagements chaque année, si bien qu'aujourd'hui,
notre ambition est très forte. Nous avons choisi d'aligner toutes nos activités sur un scénario de limitation à un 1,5 degrès du réchauffement climatique et d'être un acteur incontournable de l'atteinte de la neutralité carbone en France et donc de la mise en œuvre des objectifs nationaux. D'abord, nous avons choisi d'éliminer de nos financements toutes les activités très néfastes sur l'environnement. Et donc nous ne finançons pas la production d'électricité à partir de charbon, la production d'énergies non-conventionnelles que sont le gaz de schiste, les sables bitumineux, le pétrole et le gaz de l'Arctique. Et puis, nous avons gelé notre participation, qui est déjà très faible auprès des entreprises qui poursuivent l'expansion pétrolière et gazière. Mais malheureusement, comme les effets
du dérèglement climatique se font déjà sentir sur nos territoires, nous avons aussi choisi depuis 2022 de mettre en place un plan d'action d'adaptation au changement climatique pour adapter nos propres activités,
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la période 2020-2024, et demain encore plus, et bien, nous aidons à l'émergence de projets dans les secteurs les plus prioritaires en matière de transformation écologique que sont d'abord la transformation
du secteur du bâtiment, il s'agit de décarboner les logements et les bâtiments publics et privés. Nous mobilisons aussi nos financements pour développer les énergies renouvelables partout sur le territoire. Et puis aussi pour faire émerger des solutions de mobilité douce et de mobilité durable. 60 milliards d'euros, ça correspond à plus de 15 % des besoins de financement de l'atteinte des objectifs nationaux. C'est donc très impactant. Alors, nous faisons en sorte que toute notre ambition ne soit pas que des engagements
et des objectifs, mais que vraiment ils infusent nos pratiques et notamment la sélection de nos investissements. Et donc, avant de financer un projet, nous analysons ses impacts en matière environnementale, sur le climat et la biodiversité, mais aussi en matière sociale et de bonne gouvernance.
S'il est mal noté sur ces sujets extra-financiers, et bien nous ne le finançons pas. L'extra-financier a maintenant la même importance que le financier pour nous. Et puis, nous intégrons aussi tous ces objectifs dans la rémunération variable de nos dirigeants, dans nos modèles de risque, dans notre comptabilité. Partout en fait.

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