Le premier confinement induit par la crise sanitaire actuelle a conduit à un supplément d’épargne (évalué à hauteur de 50 milliards d’euros dans une étude d’octobre du Centre d’analyse économique - CAE) des ménages français (qu’il s’agisse d’épargne « forcée » comme conséquence de l’impossibilité de consommer certains biens et services, ou d’épargne de précaution). Plusieurs études cherchent à caractériser la situation des ménages suite au confinement : conséquences de ce dernier sur l’évolution des revenus, la situation d’emploi et de travail (temps plein, temps partiel, chômage partiel, chômage technique, télétravail…), la consommation ou encore les préférences individuelles (tolérance au risque, prévoyance…) .